
A l’époque, les marins les chassaient facilement (elles ne se déplacent qu’à 0,3Km/h) ; une fois capturées et embarquées vivantes sur le bateau, elles étaient progressivement découpées tout en étant maintenues en vie afin de fournir de la viande fraîche lors des longs voyages, n’émettant pas de sons les marins pensaient qu’elles ne ressentaient pas la douleur, d’où ce traitement particulièrement barbare.
Désormais protégées par le gouvernement de l'Équateur, elles restent cependant menacées d’extinction suite à l’introduction par l’Homme d’animaux sur l’archipel : cochons, rats et chiens qui détruisent les œufs ou tuent les juvéniles ; les chèvres introduites comme bétail ont progressivement détruit les plantes dont se nourrissent les tortues. En quatre cent ans, les effectifs sont passés de 250 000 à 20 000 individus, et sur les 14 sous-espèces initialement présentes sur l’archipel, trois ont déjà disparu. La population de tortues des Galápagos s'élève désormais à environ 15 000 individus, dont une grande partie est parquée dans des enclos pour être présentée aux touristes.
Désormais protégées par le gouvernement de l'Équateur, elles restent cependant menacées d’extinction suite à l’introduction par l’Homme d’animaux sur l’archipel : cochons, rats et chiens qui détruisent les œufs ou tuent les juvéniles ; les chèvres introduites comme bétail ont progressivement détruit les plantes dont se nourrissent les tortues. En quatre cent ans, les effectifs sont passés de 250 000 à 20 000 individus, et sur les 14 sous-espèces initialement présentes sur l’archipel, trois ont déjà disparu. La population de tortues des Galápagos s'élève désormais à environ 15 000 individus, dont une grande partie est parquée dans des enclos pour être présentée aux touristes.